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18/05/2013

Lettre parue dans la N.R, 2003

   Lettre de Mme Agnès Kerjoant, Chargée du développement culturel, à l’Association « Eclat de vie », envoyée à la Nouvelle République du Centre Ouest, de laquelle l’article paru dans le journal est extrait.

  Saint-Saint-Avertin, vendredi 11 avril 2OO3. 

 Madame, Monsieur,

    Né à Etampes en 1951, Yann Le Puits est entré en écriture à 27 ans. De son enfance passée en Afrique et en Allemagne, il a gardé le goût des langues étrangères. Son histoire personnelle l’a conduit dans ce refuge signulier qu’est l’écriture.

    Loin du bruit et de la fureur mis en scène par Shakespeare, dont il enseigne la langue dans un collège de l’agglomération tourangelle, Yann Le Puits use de sa plume comme d’autres d’un scalpel. Il tranche dans la chair, cerne la folie du monde, d’un monde qu’il s’abstient de juger. Car cet auteur respecte plus que tout la liberté du lecteur ; aussi s’interdit-il de lui indiquer une voie plutôt qu’une autre.

    Auteur de poèmes,  nouvelles,  comptines pour enfants et de pièces de théâtre, Yann Le Puits constitue à lui tout seul un inépuisable vivier, dans lequel puise inlassablement l’Association « Voix Croisées », à la si originale démarche.

    Le mardi 2O mai, l’auteur saint-cyrien sera l’invité de l’Association Culturelle Eclat de Vie. Un échantillon de ses écrits sera proposé à l’auditoire en sa présence. Il sera également possible de dialoguer avec lui et d’acquérir une de ses œuvres « Reprise des vides ».

     (…) Je fais grâce au lecteur des formules traditionnelles et courtoises, qui concluent la lettre. La comparaison, que le lecteur pourra faire, de la lettre, d’une part, et de l’article, d’autre part, peut être intéressante quant au traitement apporté par une rédaction à un article proposé. En l’occurrence, j’estime que « La Nouvelle Républiquie du Centre-Ouest » ne m’avait pas maltraité. Les renseignements non communiqués n’étaient pas essentiels, et, comme je ne désire pas être connu dans mon milieu professionnel comme écrivain, car il m’apparaît que la plupart de mes textes seraient, pour mes collègues, éminemment choquants,  je préférais que le silence soit fait sur la biographie.

 

 

 

 

09:48 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

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