30/01/2014
ANDALOUSIE 27
Andalousie, mon amour 27
(Récit de voyage)
Sur notre gauche, la Sierra Nevada jette, vers le ciel d’un bleu irréprochable, la vigoureuse blancheur de ses cimes.
A nos pieds, inextricable même pour l’œil le plus exercé, le dédale des ruelles qui s’élèvent jusqu’au sommet de la colline, puis dégringolent de nouveau vers le Darro, dont le double r roule ses courants torrentiels.
Est-il possible, est-il honnête d’affirmer que tel ou tel paysage mérite que l’on le décrive comme étant « le plus beau du monde » ? L’emploi commercial des superlatifs m’agace. Je vois là le souci de « vendre » sa région, d’y promouvoir le tourisme générateur d’emplois, donc d’une plus grande richesse.
09:28 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)
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