15/06/2014
D'Albion à Cologne 14
D’Albion à Cologne 14
Je ne puis résister à la tentation de m’approcher de l’eau, à un endroit où cela peut se faire sans être ni équilibriste, ni casse-cou. J’ai tant de souvenirs dans la tête, de pique-niques familiaux en Forêt Noire ; papa plaçait les bouteilles au frais, dans le torrent. Nous n’avions pas besoin de glacière. J’ai trempé mes mains dans l’eau froide et vive, et j’en ai mouillé mon visage. A Todnau, j’ai retrouvé le parfum des primes années, grâce au courant de la cascade.
La journée a été bien remplie. Nous allons être en retard pour le dîner. A l’aide du téléphone portable, j’appelle la pension Faller, afin qu’elle prévienne le restaurant Adler du contretemps. Non, merci, nous ne dînerons pas dehors ; oui, il a fait assez beau, mais le temps est trop frais pour des Français de la vallée de la Loire !
09:49 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)
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