22/06/2014
D'Albion à Cologne 21
D’Albion à Cologne 21
Pour ce qui nous concerne, nous sommes arrivés juste à temps, car le fonctionnaire qui rédigeait un procès-verbal pour la voiture située à gauche de la nôtre, semblait moins conciliant que ses collègues. Je suis allé lui parler ; l’homme agita la main, comme pour dire : « Je n’ai rien vu ». Nous avons rajouté un nouveau ticket derrière le pare-brise. Ouf ! Merci Monsieur, pour votre compréhension !
Ce n’est pas sans émotions que j’ai revu la cathédrale, où je m’étais prêté à ce rite de passage dont j’ai déjà parlé. Même si l’on s’éloigne de la foi, cela n’est pas sans laisser des traces, dont celle peu enviable de la culpabilité native.
08:48 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)
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