22/08/2014
Mon père disait 19
« Mon père disait… » (19)
Les vitraux s’imposent comme l’attrait principal. Sur ces immenses verrières apparaissent des villes et des paysages, aux couleurs d’une telle variété qu’il ne serait pas facile de les répertorier. Nous avons tellement admiré ce que je n’hésiterai pas à nommer chef-d’œuvre, que je n’arrive pas à comprendre pourquoi il n’en est pas dit un mot, dans les deux livres à ma disposition. Mystère à creuser…
La châsse en or, argent et vermeil, ainsi que l’ostensoir incrusté de pierres précieuses nous ont émerveillés. On peut rejeter la foi catholique, critiquer la bigoterie et condamner moralement le fanatisme, lequel trop longtemps prévalut, mais face à de pareils chef-d ’œuvres, on reste béat.
Vous ne serez pas surpris, si je vous dis qu’il pleut encore, lorsque nous sortons de la cathédrale. Rassasiés de vieux monuments, nous déambulons et flânons, jusqu’à sortir du vieux Bruges, qui ne couvre qu’une étendue restreinte. Elisabeth se procure un plan clair de la ville, à l’Office du Tourisme.
09:50 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)
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