15/09/2014
Mon père disait 33
« Mon père disait… » (33)
La première impression de cette localité ne nous donne aucune envie de nous y attarder : édifices à l’incomparable laideur moderne, aucune grâce architecturale, déplaisirs auxquels s’ajoutent les désagréments de la foule et son corollaire, les difficultés de stationnement.
Nous finissons par trouver une case pour notre véhicule sans prétention, au milieu d’une collection de Mercedes et de Jaguar. Si nous adhérions au marxisme, je nous déclarerais prolétaires. Vous connaissez la suite de la ritournelle…
Une seule attraction notable, sur la plage : la mer s’est très loin retirée ; des dizaines de personnes se tiennent là-bas, au bord de l’eau, qui toutes regardent vers le large. Pourquoi ? Nous questionnons un jeune maître-nageur, qui parle assez bien le Français.
12:23 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)
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