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14/09/2012

Pour une vocation océanique (IX)


Nouvelle annonce

      Le samedi 15 et le dimanche 16 septembre aura lieu, à Sens, département de l’Yonne (89), un colloque sur La littérature prolétarienne, aux 19e et 20e siècles.

    Je donnerai une causerie le dimanche matin, de onze heures trente à midi, intitulée «  Bernard Clavel, chantre des classes laborieuses ». Occasion, pour les lectrices et lecteurs de ce blog de rencontrer l’auteur, surtout s’ils habitent dans la région de Sens.

    Yann Le Puits

« O que ma quille éclate ! O que j’aille à la mer ! » Arthur Rimbaud « Le bateau ivre » 

 

Pour une vocation océanique… (Fin)

 

3O La laideur profite de l’anesthésie de l’intelligence pour s’incruster davantage. Avec béatitude, nous baisons le cul puant de Madame La Laideur.

 31 Raison de plus pour s’élever jusqu’à la Source, s’abandonner au cours du Fleuve, se noyer avec bonheur dans l’Estuaire.

Pour une vocation océanique (IV)

Annonce

  Pour celles et ceux d’entre vous qui habitez en Indre-et-Loire, ou même dans un département limitrophe : le dimanche 16 septembre, je participerai, cette année, au deuxième salon du livre de Veigné, près de Tours, de 10 heures à 19 heures. Au plasir de vous y rencontrer et de pouvoir, avec vous, parler de littérature.

 

 

   « O que ma quille éclate ! O que j’aille à la mer ! » Arthur Rimbaud « Le bateau ivre » 

 

Pour une vocation océanique

 

(Extrait de Hautes sources, vastes estuaires)

 

   9 Dans le miroir, nous n’osons que douloureusement reconnaître le visage d’une vérité : rares sommes-nous qui, en profondeur, savons creuser. Avons-nous eu assez de patience ? Aurons-nous assez de forces ?

 

  1O Et voici la géographie tourmentée du désir : les bonheurs, qui nous  ont échappé, les joies que nous n’avons pas su goûter, nous inoculent le poison de la nostaglie. Mourir, même si tardivement, serait-il un havre ?

 

   11 Comment se nomme cet étranger, qui nous fixe dans le miroir ? Que savons-nous de lui ? Que veut-il de nous ? 

09:36 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

13/09/2012

pour une vocation océanique... (III)

Annonce

 

    Pour celles et ceux d’entre vous qui habitez en Indre-et-Loire, ou même dans un département limitrophe : le dimanche 16 septembre, je participerai, cette année, au deuxième salon du livre de Veigné, près de Tours, de 10 heures à 19 heures. Au plasir de vous y rencontrer et de pouvoir, avec vous, parler de littérature.

   

« O que ma quille éclate ! O que j’aille à la mer ! » Arthur Rimbaud « Le bateau ivre » 

Pour une vocation océanique

 

(Extrait de Hautes sources, vastes estuaires)

 

 

    8 Combien de subterfuges avons-nous utilisés ? Tant et tant que la liste complète en serait ennuyeuse : déplacer tel mot, telle phrase, biffer ceci ou cela, hésiter face au choix d’un seul vocable entre plusieurs, inverser ou ne pas inverser l’ordre courant des mots, arbitrer la dispute entre les signes de ponctuation, pour une préséance textuelle…