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13/06/2014

D'Albion à Cologne 12

D’Albion à Cologne 12

    Cinq minutes plus tard, soulagement, nous sommes en route pour le Feldberg.

 

Stationnement gratuit pour les visiteurs qui empruntent la télécabine. Nous prenons l’aller-retour, mais découvrirons, arrivés là-haut, que la descente eût été rapide. L’ascension se réalise avec un couple d’Alsaciens d’une trentaine d’années, au fort accent régional ; la descente, avec un groupe de Britanniques.

    Nous admirons, évidemment, le superbe paysage de montagnes, mais aussi l’effort très sportif des cyclistes, qui s’attaquent à des pentes que, même à pied, nous trouvons déjà fortes. Pour crapahuter, nos jambes souffrent de rouille. Le chant répétitif des clarines nous escorte, le long des sentiers. Un peu de brume voile le ciel, mais la vue est tout de même fort belle.

 

  

12/06/2014

D'Albion à Cologne 11

D’Albion à Cologne 11

 

    Problème majeur : la voiture est introuvable ! Nous savons que nous l’avons garée tout près du lac, oui, mais il y a dix parkings différents !

    Voilà le couple Le Fouler qui tourne dans tous les sens à la recherche de son véhicule. Nous ne sommes pas fiers de nous, oh, non, pas du tout !

    Après un quart d’heure d’infructueuses recherches, il nous faut nous résigner à nous diriger, la tête basse, vers l’office du tourisme. Dans ma tête, j’ai préparé la phrase allemande la plus correcte que je puisse bâtir, pour présenter notre bêtise d’une manière intelligente… Stupéfaction amusée de la charmante hôtesse, qui sort le plan des lieux et, en unissant nos souvenirs et sa connaissance du secteur, nous arrivons à déterminer sur quelle aire de stationnement doit se trouver la Laguna grise.

    

11/06/2014

D'Albion à Cologne 10

D’Albion à Cologne 10

 

  Nous pique-niquons au bord du lac. Elisabeth me propose une promenade en pédalo, mais le temps est assez frais ; certes, il ne ferait pas plus chaud, sur le lac. La proposition n’est pas retenue, pour cette fois-ci. Après le café, qui précisément sert à nous réchauffer, nous flânons aux environs ; une bien joyeuse fanfare nous arrête ; interlude festif, pour les Allemands et autres Européens, en cercle autour des musiciens ; le public ne lésine pas sur les applaudissements, ni sur la monnaie pour encourager l’harmonie !

    Après un coup d’œil rapide dans des boutiques, nous décidons de reprendre la voiture, afin de monter au Feldberg (près de 1500 mètres d’altitude).