27/06/2014
51 Efficacité oblige....
51 Efficacité oblige…
Les mauvaises langues disent et répètent que les gouvernements ne servent à rien, qu’ils se caractérisent par leur inefficacité, leur incompétence, leur incurie. Afin de prouver que cette appréciation négative est fausse, je donnerai des exemples positifs : ceux de la dictature égyptienne et du « modèle » chinois.
En mars 2014, les tribunaux sous contrôle militaire prononcent cinq cents condamnations à mort ; en avril, sept cents. Une progression de presque 50%. N’est-ce pas du beau travail ?
Au cours de la campagne électorale présidentielle (Ségolène Royale) contre Nicolas Sarkozy, l’oie blanche, la pécore s’était émerveillée de la diligence de la justice chinoise. Ils ne gaspillent pas leur salive en parlotes, là-bas, ils agissent. Arrêté un jour, vous êtes jugé le lendemain, condamné à mort, puis exécuté le surlendemain.
La royale dame eût été mieux avisée de limiter ses ambitions politiques au cadre de la région Poitou Charentes. Ses capacités d’analyse s’arrêtaient aux limites de son royaume…
11:07 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)
24/06/2014
D'Albion à Cologne 23
D’Albion à Cologne 23
Ce dernier soir à Glottertal, comme nous l’avions fait à Londres, nous dînerons « draussen », dehors ; Elisabeth va mettre un lainage. La fraîcheur tombe vite. A la table voisine, un couple d’Espagnols se débrouille tant bien que mal, pour commander le repas.
Nous avons fini de dîner avant les Ibères. Avec eux, nous échangeons quelques paroles. La dame parle bien le Français. J’essaye de réemployer mon Castillan, mais j’ai la tête pleine de mots allemands !
En vue du prochain voyage à Grenade, je sais ce que je dois faire : réviser mon Espagnol !
08:52 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)
23/06/2014
D'Albion à Cologne 22
D’Albion à Cologne 22
Une particularité nous a intrigués : partout, entre les trottoirs et la rue, court un ruisselet, dans lequel les enfants et même parfois des adultes viennent tremper leurs pieds. L’eau y est très limpide. Comme je portais des sandales, j’ai profité de l’occasion pour délasser mes orteils !
C’est à Freiburg im Breigsau que nous avons effectué nos derniers achats, cadeaux pour la famille et les amis. Plus d’un commerçant parlait un peu le Français ; cela « sentait » déjà la frontière. Dans les rues, nous avons croisé plus de Français que nous n’en avions vus partout ailleurs en Allemagne. Nos compatriotes préfèrent souvent l’Espagne et ses plages ensoleillées. Je n’ai pas d’aversion pour le voisin ibérique, mais c’est dommage de si mal connaître le voisin germanique.
08:50 Publié dans Autobiographie | Lien permanent | Commentaires (0)