12/06/2014
D'Albion à Cologne 11
D’Albion à Cologne 11
Problème majeur : la voiture est introuvable ! Nous savons que nous l’avons garée tout près du lac, oui, mais il y a dix parkings différents !
Voilà le couple Le Fouler qui tourne dans tous les sens à la recherche de son véhicule. Nous ne sommes pas fiers de nous, oh, non, pas du tout !
Après un quart d’heure d’infructueuses recherches, il nous faut nous résigner à nous diriger, la tête basse, vers l’office du tourisme. Dans ma tête, j’ai préparé la phrase allemande la plus correcte que je puisse bâtir, pour présenter notre bêtise d’une manière intelligente… Stupéfaction amusée de la charmante hôtesse, qui sort le plan des lieux et, en unissant nos souvenirs et sa connaissance du secteur, nous arrivons à déterminer sur quelle aire de stationnement doit se trouver la Laguna grise.
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11/06/2014
D'Albion à Cologne 10
D’Albion à Cologne 10
Nous pique-niquons au bord du lac. Elisabeth me propose une promenade en pédalo, mais le temps est assez frais ; certes, il ne ferait pas plus chaud, sur le lac. La proposition n’est pas retenue, pour cette fois-ci. Après le café, qui précisément sert à nous réchauffer, nous flânons aux environs ; une bien joyeuse fanfare nous arrête ; interlude festif, pour les Allemands et autres Européens, en cercle autour des musiciens ; le public ne lésine pas sur les applaudissements, ni sur la monnaie pour encourager l’harmonie !
Après un coup d’œil rapide dans des boutiques, nous décidons de reprendre la voiture, afin de monter au Feldberg (près de 1500 mètres d’altitude).
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10/06/2014
S"Albion à Cologne 9
D’Albion à Cologne 9
Au dos du dépliant, je lis qu’une grande partie de l’or que contient St-Peter est venue des Andes et que la pauvreté actuelle a, pour une part non négligeable, ses racines dans le colonialisme. Aider le Pérou, c’est donc lui rendre un peu de ce que l’Europe (principalement l’Espagne) lui a volé. Le point de vue me semble assez réaliste, mais cela n’ôte rien à la générosité des donateurs.
Pour une autre visite, il nous restera la Bibliothèque, dont il est dit des merveilles dans le guide vert.
La route s’élève toujours, et nous mène au lac Titisee, que je n’ai pas revu depuis 1963.
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