24/06/2014
D'Albion à Cologne 23
D’Albion à Cologne 23
Ce dernier soir à Glottertal, comme nous l’avions fait à Londres, nous dînerons « draussen », dehors ; Elisabeth va mettre un lainage. La fraîcheur tombe vite. A la table voisine, un couple d’Espagnols se débrouille tant bien que mal, pour commander le repas.
Nous avons fini de dîner avant les Ibères. Avec eux, nous échangeons quelques paroles. La dame parle bien le Français. J’essaye de réemployer mon Castillan, mais j’ai la tête pleine de mots allemands !
En vue du prochain voyage à Grenade, je sais ce que je dois faire : réviser mon Espagnol !
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23/06/2014
D'Albion à Cologne 22
D’Albion à Cologne 22
Une particularité nous a intrigués : partout, entre les trottoirs et la rue, court un ruisselet, dans lequel les enfants et même parfois des adultes viennent tremper leurs pieds. L’eau y est très limpide. Comme je portais des sandales, j’ai profité de l’occasion pour délasser mes orteils !
C’est à Freiburg im Breigsau que nous avons effectué nos derniers achats, cadeaux pour la famille et les amis. Plus d’un commerçant parlait un peu le Français ; cela « sentait » déjà la frontière. Dans les rues, nous avons croisé plus de Français que nous n’en avions vus partout ailleurs en Allemagne. Nos compatriotes préfèrent souvent l’Espagne et ses plages ensoleillées. Je n’ai pas d’aversion pour le voisin ibérique, mais c’est dommage de si mal connaître le voisin germanique.
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22/06/2014
D'Albion à Cologne 21
D’Albion à Cologne 21
Pour ce qui nous concerne, nous sommes arrivés juste à temps, car le fonctionnaire qui rédigeait un procès-verbal pour la voiture située à gauche de la nôtre, semblait moins conciliant que ses collègues. Je suis allé lui parler ; l’homme agita la main, comme pour dire : « Je n’ai rien vu ». Nous avons rajouté un nouveau ticket derrière le pare-brise. Ouf ! Merci Monsieur, pour votre compréhension !
Ce n’est pas sans émotions que j’ai revu la cathédrale, où je m’étais prêté à ce rite de passage dont j’ai déjà parlé. Même si l’on s’éloigne de la foi, cela n’est pas sans laisser des traces, dont celle peu enviable de la culpabilité native.
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