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17/08/2012

Le xyphophore

Le xiphophore

 

Petits poissons, gare à vos écailles !

Toujours prêt pour la bataille,

Nuit et jour il porte son glaive.

Pour l’amour, jamais en grève.

Le xiphophore,

C’est le plus fort !

10:06 Publié dans Comptines | Lien permanent | Commentaires (0)

02/08/2012

Si j'étais Dieu (4)

   Annonce : le blogueur un peu blagueur (mais pas trop, il faut être sérieux, n’est-ce pas ?) va s’absenter du 2 au 16 août. Cette fois-ci, nous prenons la direction de l’Allemagne. Si le dieu des voyageurs nous accompagne et nous protège, le blog se réveillera le vendredi 17 août. Même conseil qu’en mai : relire ne nuit à personne. Je l’ai souvent fait, avec profit. Une bonne nouvelle, dans la grisaille médiatique : le blog de Yann Le Puits a reçu plus de visites, en juillet, que tous les autres mois, depuis sa création. Bonnes vacances à toutes et à tous. Si vous n’avez pas encore communiqué le nom de ce blog à vos contacts, il n’est pas trop tard pour le faire. Merci à toutes et à tous.

Yann Le Puits

 

Si J’étais Dieu…

  

IV

  

   Que l’enfer se déchaîne : déluges, inondations, coulées de boue, canicules, famines, épidémies meurtrières, génocides, éruptions volcaniques, coulées de lave, séismes, raz-de-marée, tsunamis, centrales nucléaires qui claquent comme des pétards ! Qu’il n’en survive pas un ! Hugh, J’ai dit ! »

   Oui, voilà ce que grommellerais, dans ma barbe longue de plusieurs kilomètres, si j’étais Dieu, mais ne vous inquiétez pas, ça ne risque pas d’arriver. S’Il existe, Il est peut-être un peu moins mauvais que moi.

 

 

00:42 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

01/08/2012

Si j'étais Dieu (3)

Si J’étais Dieu…

  

III

  

 

 

     Pauvre de Moi ! Je vais vous faire une confidence : ce n’est pas drôle d’être Dieu, de peiner comme un damné pour fabriquer une belle création, puis de la voir bousillée par des sauvages, des barbares et des abrutis.

    Et eux, pas gonflés, ils osent encore pleurnicher, me baver des mots tels que « miséricorde, mansuétude, infinie bonté, pardon, c’est ma faute, ma très grande faute. »

    Ah, les tartuffes ! Comme si Je ne voyais pas clair dans leur jeu ! Faut pas se payer ma trombine, tout de même ! D’accord, je suis vieux puisque je suis Dieu, mais gâteux, non, pas déjà !

    Ils me dégoûtent tellement que Je vais tous les laisser crever comme des porcs qu’ils sont, dans leur crasse et leur méchanceté !

   

10:24 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)