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26/08/2013

Le questionneur 5

“A book worth reading is a book worth buying.” John Ruskin

 Un livre, qui mérite d’être lu,  mérite qu’on l’achète.

 (Publicité vue en Grande Bretagne, dans une librairie. A méditer).

 

 

Le questionneur (5)

 

  Or, il ne me parut pas maladroit. Bien plutôt, je dirai qu’il paraissait mal à l’aise ou, comme le veut le langage familier « il ne savait pas sur quel pied danser ». Chose normale : nous inquiétons, parfois nous passons pour des usurpateurs de la canne blanche…

 

    Il voulut savoir si j’avais toujours été handicapé, comment je me débrouillais pour affronter les difficultés quotidiennes, si cela s’aggravait ou non, si j’avais connu les joies et les peines de la vie familiale, si j’avais exercé une profession et laquelle. 

09:41 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

25/08/2013

Le questionneur 4

“A book worth reading is a book worth buying.” John Ruskin

Un livre, qui mérite d’être lu,  mérite qu’on l’achète.

 (Publicité vue en Grande Bretagne, dans une librairie. A méditer).

 

Le questionneur (4)

 

    « Avez-vous vu cette émission, Monsieur ? »

    Je lui répondis que je ne regarde jamais la télévision, aveu qui déclencha une nouvelle série de questions.

   Ce jeune barbu casquetté déploya force politesses, car il craignait, m’avoua-t-il, de se montrer indiscret, ou de me gêner. Plusieurs fois, il parla de sa « maladresse ».

   

 

 

   

10:27 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

24/08/2013

Le questionneur 3

 “A book worth reading is a book worth buying.” John Ruskin

Un livre, qui mérite d’être lu,  mérite qu’on l’achète.

 (Publicité vue en Grande Bretagne, dans une librairie. A méditer).

 

Le questionneur (3)


  « Voilà, Monsieur, je vous ai vu descendre ce chemin assez difficile, où il y a des trous, des racines et des cailloux, mais sans hésiter ni trébucher. Comment faites-vous ? »

    Je lui exposai, grosse modo, ce que vous venez de lire, à propos de l’amblyopie. Si je puis dire, ce fut pour lui, visiblement, une découverte. Il me dit qu’une émission de télévision avait évéillé sa curiosité. Il s’agissait d’un homme qui, à cause d’un accident, avait perdu la vue, mais l’avait retrouvée ultérieurement, grâce à une opération.

   

09:43 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)