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11/05/2014

Intermède grotesque 7

Intermède grotesque et néanmoins édifiant 7

 

     Les contes ? Babioles et  fariboles ! Enfantillages pour attardés mentaux !

     La nouvelle ? Nabot trop vite accouché ! Avorton de roman !

     La poésie ? Etalage de sensiblerie destiné aux femmelettes !

     Le théâtre ? Divertissement de bourgeois en goguette ou masturbation  mentale d’intellectuels de « gôche » !

     D’ailleurs, qui se permettrait d’écrire encore des pièces littéraires ? Les deux mots se repoussent mutuellement. Depuis fort longtemps, ils ont divorcé. Mieux vaut réaliser des montages, en fouinant dans le bric-à-brac des écrivains.

     

09:36 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

10/05/2014

Intermède grotesque 6

 Intermède grotesque et néanmoins édifiant 6

 

      Oui, d’accord, je vous le concède, ces amusettes se rangent sous l’appellation précitée, mais vous conviendrez avec moi que tout cela n’est pas très … sérieux. A ces genres mineurs, il manque l’essentiel, dont déjà nous avons parlé, à savoir le souffle et l’ampleur, puisque vous m’obligez à répéter.

     Votre mémoire est défaillante ? C’est inquiétant à votre âge ! Prenez du magnésium, comme mon arrière grand’mère, qui est centenaire. Cela lui réussit plutôt bien.    

    Reconnaissez que pour les deux qualités, dont cette fois-ci je ne répéterai pas les noms, le roman est imbattable !

    

 

 

 

09:28 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

09/05/2014

Intermède grotesque 5

Intermède grotesque et néanmoins édifiant 5

   

 

       Vous vous déclarez, sans l’avis ni l’aval de personnalités compétentes, « écrivain ». Donc vous prétendez rejoindre l’élite pensante. Cela est grave. Ne plaisantons pas à propos d’une aussi sérieuse activité : la littérature ! Surtout en cette belle patrie, qui sait si bien se rengorger et lancer son « cocorico ! » sur son tas de fumier !    

    La littérature, Monsieur le Prétentieux, refuse les amateurs, les penseurs aux faibles neurones. Pour occuper une place dans ce métier (la vôtre ou celle d’un autre) il vous faut du souffle et de l’ampleur, diantre ! Comment ? Vous ne produisez que des nouvelles, des contes, et, pire encore, de la poésie ?

    

 

 

 

 

09:38 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)