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23/06/2014

D'Albion à Cologne 22

D’Albion à Cologne 22

 

   Une particularité nous a intrigués : partout, entre les trottoirs et la rue, court un ruisselet, dans lequel les enfants et même parfois des adultes viennent tremper leurs pieds. L’eau y est très limpide. Comme je portais des sandales, j’ai profité de l’occasion pour délasser mes orteils !

    C’est à Freiburg im Breigsau que nous avons effectué nos derniers achats, cadeaux pour la famille et les amis. Plus d’un commerçant parlait un peu le Français ; cela « sentait » déjà la frontière. Dans les rues, nous avons croisé plus de Français que nous n’en avions vus partout ailleurs en Allemagne. Nos compatriotes préfèrent souvent l’Espagne et ses plages ensoleillées. Je n’ai pas d’aversion pour le voisin ibérique, mais c’est dommage de si mal connaître le voisin germanique.

 

    

22/06/2014

D'Albion à Cologne 21

D’Albion à Cologne 21

  

Pour ce qui nous concerne, nous sommes arrivés juste à temps, car le fonctionnaire qui rédigeait un procès-verbal pour la voiture située à gauche de la nôtre, semblait moins conciliant que ses collègues. Je suis allé lui parler ; l’homme agita la main, comme pour dire : « Je n’ai rien vu ». Nous avons rajouté un nouveau ticket derrière le pare-brise. Ouf ! Merci Monsieur, pour votre compréhension ! 

    Ce n’est pas sans émotions que j’ai revu la cathédrale, où je m’étais prêté à ce rite de passage dont j’ai déjà parlé. Même si l’on s’éloigne de la foi, cela n’est pas sans laisser des traces, dont celle peu enviable de la culpabilité native.

 

    

21/06/2014

D'Albion à Cologne 20

D’Albion à Cologne 20

  

    De retour au centre de la ville, nous déjeunâmes à la terrasse d’un restaurant, de laquelle nous avons observé la vie de la rue semi piétonne. Les tramways ont attiré notre attention, par la gaieté, la variété des couleurs et des publicités qu’ils affichaient.

    Puis, nous nous sommes inquiétés du sort de notre vieille voiture, garée sur un parking où, normalement, nous n’avions pas droit à plus d’une heure de stationnement. Cela faisait trois heures que nous avions abandonné notre véhicule à son sort… Nous voyions les policiers très actifs qui, nous sembla-t-il, distribuaient généreusement les contraventions. Je pris la liberté d’examiner l’un des documents coincés sous l’essuie-glace d’une belle Mercedes. Or, c’était un dépliant de la Municipalité ; tout y était expliqué, pour bien se garer : emplacement des parkings, horaires, tarifs. Je ne sais pas si les agents avaient agi de même pour tous les véhicules mais, si tel fut le cas, le procédé n’était pas répressif.