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10/01/2014

ANNONCE

L’équipe de la Médiathèque Michel Serres, à Saint-Avertin, 

a le plaisir de vous convier à

la conférence du Préfet Eric FREYSSELINARD

à propos de son livre

« Albert LEBRUN, le dernier Président de la IIIème République »

qui aura lieu

Le Samedi 25 janvier à 15h

Salle du Patrimoine - Médiathèque Michel Serres

Arrière petit-fils du dernier Président de la IIIème République,

Eric FREYSSELINARD est l’auteur de la biographie d’Albert LEBRUN qui a séjourné et présidé à Cangé deux Conseils des Ministres en juin 1940

A l’issue de la conférence, l’auteur dédicacera son ouvrage

17:27 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

03/01/2014

PERFIDIE POLITIQUE 47

Perfidie politique n°47

 

   Autant que je la méprise, j’aime notre gauche caviar. Elle nous fournit un si bel exemple de tartufferie ! Ces Dames et Messieurs vous roulent le mot « peuple » de la joue droite à la joue gauche, avec la délectation du gourmet, qui déguste un caramel de pâtissier. Ils déploient l’onctuosité larmoyante des curés, qui prêchent en faveur de la charité, mais œuvrent afin d’enrichir l’église catholique. Si ces bonnes âmes souffrent autant pour le peuple, si nos « socialistes » éprouvent l’empathie qu’ils disent avoir, que ne distribuent-ils leurs fortunes personnelles, qui soulageraient la misère ? Ils ne le feront pas. Ils s’en souviennent : la devise du bien-pensant est d’avoir le cœur à gauche, mais le portefeuille à droite. 

 

 

09:22 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

02/01/2014

LLAMAZARES 15

Une entrevue avec Julio Llamazares 15

 

(Magazine Qué leer)

 

    Que voyez-vous dans le ciel, pour qu’ensuite vous le mettiez tant dans vos romans ?

     Dans Le ciel de Madrid, par exemple, c’était une métaphore du succès, que  beaucoup de gens venaient chercher à Madrid. Mais moi…  Pourquoi je lève si souvent les yeux vers le ciel ? Dès ma petite enfance, on me disait que je bayais aux corneilles, mais je crois que pour écrire, il faut bayer aux corneilles, pour écrire comme moi, je pense on doit le faire.

 

 

Español

 

-¿Qué ve usted en el cielo que luego lo mete tanto en sus novelas?

-En El Cielo de Madrid, por ejemplo, era una metáfora del éxito que venía a buscar mucha gente a Madrid. Pero yo… ¿Por qué miro tanto para arriba? Desde que era pequeño me decían que estaba siempre en Babia, pero yo creo que para escribir hay que estar en Babia, para escribir como yo considero que se ha de escribir.

 

 

Avec l’aimable autorisation de la revue Que leer. Traduction assurée par Yann Le Puits.