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03/09/2013

Promotion

Aubaine à saisir !

 

   En août, vous fûtes, petits futés, 567 visiteurs différents à vous bousculer, pour lire les « notes », évidemment géniales de Yann Le Puits, à la proverbiale profondeur.

 

   Pour vous remercier de votre assiduité, il vous offre deux livres électroniques sur Amazon, à seulement un Euro chaque : Entre muraille et canal (roman) et Pot-pourri tourangeau (patrimoine). Oui, vous avez bien lu : un Euro ! Cessez de vous frotter les yeux ! Vous n’avez pas la berlue ! Profitez-en ! 

10:44 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

Soleils de nuit 3

 « Soleils de nuit »  de Laurent Vermeersch (3)

 

   Mis en présence du monde imaginaire de Laurent Vermeersch, spontanément, ma réflexion initiale fut :

   « Si j’avais été peintre, voilà les toiles que j’eussse aimé réaliser. Hélas, je n’ai aucun talent pour la peinture ! ».

    Puis, telle une indiscutable évidence, me vint cette certitude : il me faudrait revoir ces tableaux, les regarder plus longuement, m’attarder au cœur de ces paysages mi-urbains, mi-aquatiques. Probablement parce que, depuis une trentaine d’années, à travers l’écriture de nouvelles et de contes, je vis dans le voisinage d’êtres imaginaires,  extraordinaires ou monstrueux,  face à la peinture visionnaire de Laurent Vermeersch, je me suis senti transporté vers des domaines où, précisément, pourraient se montrer de ces êtres qui nous laissent pantois d’horreur et d’admiration, sans que nous puissions démêler l’une de l’autre. Un seul mot résume cela : fascination

    

 

 

 

 

 

09:31 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)

02/09/2013

Soleils de nuit 2

« Soleils de nuit »  de Laurent Vermeersch (2)


 

   Immédiatement, face à cet univers de suprême étrangeté, je me suis senti conquis. Que le lecteur veuille bien me pardonner de parler de moi-même, mais, il me semble que, pour tenter de dire ce qu’une œuvre contient et révèle, et qui pourra toucher d’autres hommes, inévitablement, il nous faut admettre la nécessité du passage par ce prisme d’interprétations qu’est la sensibilité personnelle. L’analyse exclusivement intellectuelle (si toutefois une telle chose existe), détachée du substrat de la sensibilité, lorsqu’il s’agit d’Art, ne conduirait qu’au dessèchement ; l’Art est d’abord une aventure sensible, une expérience tâtonnante, qui nous mène, d’une approximation à l’autre, jusqu’à des images et des vérités dont nous ne soupçonnions qu’à peine l’existence.  

   

 

 

 

 

 

 

09:11 Publié dans Essais | Lien permanent | Commentaires (0)